Ils sont pour moi une véritable référence dans ma vie de tous les jours. Apparemment simples, ils sont néanmoins exigeants. Je crois qu’une plus grande application de ces accords rendrait le monde plus juste et plus apaisé.
1e/ Avoir une parole impeccable – Loin de tout jugement, ironie, dénigrement… ma parole est respectueuse.
2e/ Ne pas en faire une affaire personnelle – Les actes et les paroles de chacun.e ne parlent que d’elle/lui, et non de moi ou de mes valeurs.
3e/ Ne pas faire de supposition – Cherchez à comprendre l’autre, son point de vue, sans tirer de conclusion hâtive selon son prisme.
4e/ Faire toujours de son mieux – Et quelle que soit la situation, je sais que j’ai fait au mieux selon mes capacités du moment.
Nous aspirons tous à avoir pleinement confiance en nous. Voici plusieurs principes de vie précieux et concrets qui nous permettent d’y voir plus clair sur comment gagner cette fameuse confiance qui n’est pas seulement une affaire de soi avec soi mais aussi soi avec les autres, le monde.
L’autrice se penche sur les mécanismes par lesquels l’inceste, en théorie interdit et condamné, est couramment pratiqué dans l’intimité des foyers français et est peu dénoncé. Après cinq ans d’enquête ethnographique, le phénomène qui est fréquent, se révèle structurant de l’ordre social.
Au-delà de l’horreur, c’est un livre important pour comprendre les rouages mis à l’œuvre, les impacts sociaux et le principe de domination qui en est le fondement ainsi que celui de notre société.
Le terme « tiers-lieu » désigne un espace qui n’est ni la maison (1e lieu), ni le travail (2e lieu), mais un 3e espace dédié à la rencontre, au partage et à la collaboration. Fablabs, Repair Cafés, lieu d’exposition, espaces de coworking,… et parfois tout à la fois, il est dit qu’il existe autant de types de tiers-lieu que de personnes qui en ouvrent. Ils ont en commun la volonté de réunir différentes activités, de participer au développement du territoire et d’animer une communauté de personnes qui partagent les mêmes valeurs et les mêmes ambitions.
De nombreux sites internet informent désormais sur les différents tiers-lieux près de chez vous ou avec une thématique choisie. N’hésitez pas à vous renseigner si vous êtes animé.e par le partage et le faire-ensemble.
Vous avez tendance à être dans le jugement à votre encontre ? « Je suis nulle », « Je ne suis même pas capable de… », « je ne mérite pas… »
Je vous propose à porter à votre poignet un bracelet extensible ou un élastique peu serré. Chaque fois que vous prononcez ces injonctions à votre attention, étirez-le un peu et relâcher-le. Par ce geste, vous prenez quelques secondes pour prendre conscience de vos paroles négatives aussi bien au niveau du mental, de l’émotionnel et du corporel. Puis je vous invite à rectifier votre posture (même physiquement par exemple en vous redressant), et prononcer la phrase dans une version plus ouverte, juste et positive envers vous-mêmes.
Ex : « Je suis nulle ! Je suis encore arrivée en retard à mon rendez-vous, comme toujours ! » deviendrait « Même si je suis arrivée en retard, j’en ai conscience et je travaille à m’améliorer. » .
On finit en posant un sourire intérieur sur cette note positive envers soi-même.
C’est une pratique utilisée en EFT (Emotional Freedom Technique) qui consiste à tapoter avec les doigts d’une main le bord extérieur de son autre main – voir la zone représentée par un trait rouge sur l’image.
La stimulation de cette zone permet d’abaisser son niveau de stress et de se libérer des émotions négatives. En effet à cet endroit, comme à d’autres endroits du corps, passe des méridiens qui, lorsqu’ils sont sollicités par le « tapping » apportent un apaisement aux tensions physiques.
Simplement être reconnaissant de cette vie qui nous est offerte.
Trouver un temps calme dans sa journée, par exemple au coucher, pour remercier de ce qui nous est donné, de ce que cette journée nous a appris, nous a apporté. Ajouter un sourire intérieur à ce instant apaisant.
Ce moment sera propice à être accompagné par la production d’écrits et d’illustrations dans un carnet choisi avec attention.
En cas de ressentis de tensions dans son corps, il est souvent bienfaisant de favoriser le relâchement et la circulation dans cette zone. Nous avons tous la possibilité d’agir sur notre propre corps par le biais du mental.
Tout d’abord, s’octroyer un temps de 5-10 min pour cette activité, au calme. Repérer la zone tendue, douloureuse – ventre, plexus, épaules, lombaires, trapèzes… – si possible poser 1 ou 2 mains dessus pour bien matérialiser le lieu, la posture doit être assez confortable. Revenir à l’intérieur de soi en fermant les yeux et en posant son attention sur sa respiration quelques instants. Puis poser son attention sur la zone tendue en continuant à respirer tranquillement. A chaque inspiration, visualiser que la zone tendue se gorge d’une lumière douce et réparatrice. Et à chaque expiration la lumière s’en va en emportant avec elle un peu plus les tensions. Progressivement la zone se détend et vous pouvez visualiser que les fluides corporels circulent de mieux en mieux dans l’endroit initialement bloqué.
Note – Étant une bioscientifique, je trouve plus facile et efficace de visualiser les organes (muscles, estomac…) et leur détente physique à proprement parler, par le souffle qui les traverse. Mais cela ne parlera sûrement pas à tout le monde 😊 ! Une lumière, un fluide chaud, une plume, une couleur… à vous de trouver votre façon préférée de pratiquer.
Quoi que je fasse, se mettre dans les bonnes dispositions mentales aide à l’accomplissement de sa tâche.
S’ancrer puis se dire avant de démarrer quelle est son intention par cette activité. Cela apporte généralement plus de satisfaction dans sa réalisation et dans le résultat obtenu.
Voici quelques pratiques auxquelles j’ai fait appel après en parallèle de psychothérapie et qui ont eu un de réels bienfaits complémentaires dans mon travail personnel.
Nous, femmes, avons cette particularité de vivre chaque mois des variations hormonales en lien avec notre cycle menstruel. Ces hausses et baisses de nos hormones sexuelles impactent notre corps et nos ressentis, et seront vécues par chacune de façon très personnelle. Comprendre comment nous réagissons, comment nous fonctionnons dans notre propre cycle, m’apparaît fondamental pour bien se connaître en tant qu’individu. Ainsi je vous invite à monitorer les éléments qui jalonnent votre parcours mensuel, par exemple grâce à l’usage d’applications numériques. Vous pourrez bien entendu identifier à quel point votre cycle est régulier par rapport aux supposés 7 jours de règles + 21 jours. Vous pourrez également repérer vos vécus corporels tels que nausées, seins douloureux, fatigue, fringales, corps gonflé, sommeil agité, douleurs articulaires, difficultés d’attention, migraines, etc, qu’ils précédent, suivent ou se produisent pendant les menstruations. Vous noterez également vos ressentis émotionnels où pourront se côtoyer des bons moments de sérénité, enthousiasme, dynamisme,… et des moments plus délicats de lassitude, irritabilité, solitude…
A noter, l’article du syndrome prémenstruel dans le Vidal : https://www.vidal.fr/maladies/sexualite-contraception/troubles-regles/syndrome-premenstruel.html
» Le syndrome prémenstruel est un ensemble de symptômes qui survient environ une semaine avant les règles, et qui disparaît un jour ou deux après leur apparition. On estime qu’une femme sur deux le ressent de manière gênante. Il peut se manifester de manière très diverse, à la fois sur le plan physique (seins douloureux et tendus, prise de poids, gonflements, ballonnements et maux de ventre, douleur dans les reins, etc.) et psychologique (tristesse, manque d’énergie, impression de malaise, crises de larmes, irritabilité, impatience, anxiété, etc.). Les mécanismes précis de ce trouble sont encore mal connus […]. Lorsque les symptômes sont légers, le traitement peut simplement reposer sur des mesures d’hygiène de vie, dont l’efficacité n’a toutefois pas été démontrée scientifiquement […]. Lorsque le syndrome prémenstruel devient invalidant, un recours aux médicaments est possible. […] Les médecins prescrivent parfois des diurétiques pour diminuer la rétention d’eau, et des anxiolytiques pour soulager les symptômes psychologiques.[…] Dans tous les cas, il convient de prendre conseil auprès de son gynécologue, car un bilan complet s’impose en cas de syndrome prémenstruel sévère.
Mieux vous vous connaîtrez et mieux vous serez à même de comprendre votre syndrome prémenstruel s’il en est, et son intensité. J’ai rencontré des femmes dont le syndrome démarre 15 jours avant les règles et les entraîne dans des états dépressifs sévères qui ont nécessité la prise d’anti-dépresseurs. Leur difficulté a été dans la pose du diagnostic qui fut très longue avant de cibler le syndrome prémenstruel. D’autres femmes ne ressentent quasi aucun changement avant l’arrivée des leurs règles… Et vous ? Quelle femme êtes-vous ? «
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